En matière d’investissement et épargne, les recherches du ont mis en évidence la croissance de l'épargne gérée, qui atteint 17,3% des personnes interrogées contre 15,3% en 2019. Dans le portefeuille des français, les fonds occupent ainsi progressivement la place qu'occupaient auparavant les obligations. 4,7 % de l'échantillon ont acheté des fonds pour la première fois en 2019-20 et 30 % des propriétaires existants ont augmenté leur propriété. Le choix vers l'épargne gérée est guidé par le professionnalisme des gérants (29,2%) et la confiance dans les proposants (23,4%), ce qui traduit une opinion positive sur le secteur du conseil financier. Nous apprécions également la possibilité de diversifier le risque (23,2 %), ce qui inclut également la possibilité d'atteindre des marchés éloignés ou compliqués.
Globalement, le degré de satisfaction vis-à-vis de l'épargne gérée est élevé : 54,5% de ceux qui investissent dans des fonds y consacrent entre 10 et 30% de leur portefeuille, avec un bond par rapport aux 46,2% qui ont fait dix ans ce choix. L'épargne gérée pourrait être l'une des composantes essentielles de la gestion de l'épargne et mettre de l'argent de côté au cas où pour les imprévus. L'urgence sanitaire a poussé à l'épargne de précaution : malgré une baisse du PIB qui devrait être estimée à environ 168 milliards d'euros, les ménages disposent de 1 073 milliards en comptes courants.
Globalement, entre les ménages et les entreprises, l'épargne totale post-pandémie a augmenté de 117 milliards. Cependant, selon une enquête, c'est une phase qui ne devrait pas durer longtemps. Les réserves dépassent le taux d'épargne normal qui, selon les estimations, devrait atteindre 20 % en 2023, contre 11,8 % avant la pandémie, une part qui a déjà progressé contre 7,3 % il y a quinze ans en ligne avec la montée des raisons rationnelles d'épargner. On s'attend à ce qu'après la pandémie, les familles veuillent utiliser la partie « excédentaire » des ressources mises de côté dans le compte courant pour répondre à de nouveaux besoins, comme l'épargne pour les personnes âgées . Connaître les nouvelles priorités des Italiens est essentiel pour le monde du conseil qualifié, qui jouera un rôle fondamental dans ce processus et pourra s'affirmer dans son rôle social dans la mesure où il pourra intercepter et répondre à ces nouvelles besoins.